MARMITE
Un premier monstre vint
Pour voir la fleur
Au cœur,
Au creux
Au ventre encore non éclose
Mais son corps en bougeant et
Tout geste de ses bras
Amenaient avec lui les souffles longs qu’ont les automobiles,
La puanteur et les particules bougeaient avec lui,
Et la glorieuse fleur ne s’ouvrit pas.
Un second monstre vint
Pour voir la fleur au cœur
Au creux
Au ventre encore non éclose.
Mais son odeur excentrique et chargée de parfums
Des cuissons de sésames du fin fond du monde
SI tant est que le monde
MONSEIGNEUR
est une MARMITE,
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